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Une vie, un blog.

21 décembre 2006

Toi, mon chou .

Tu voulais un article  ?

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Et bien le voila, et tien toi bien, parce que tu va souffrir !

Toi, mon chou que j'aime...Que dire sur toi ? Le silence comme le trop plein de mot c'est pareil :tu es parfait. Parfait, oui jte jure ! Et ne dit pas non par fausse modestie, je sais que tu le sais =P.

Parfait...Parfait...Oui, tout simplement, mais pourquoi ? Commencons par le début voulez vous ^^.

Rentrée 2006, grace à ce cher Monsieur Salaud, je fais ta connaissance et tout de suite je t'adore, mais toi, tu me prends plutot pour une conne. Oui, la fille qui veux se rendre intéressante en faisant la conne. Tu fais comme si je n'existais pas et jusqu'à ce fameux samedi soir tu m'ignores comme un rouge à lèvre.

Ce soir là, je m'en rappellerais toute ma vie...Tous les deux fraichement largués, moi en larmes, Monsieur Salaud qui ne bouge plus qui ne dis rien, et toi toi qui nous regarde. Cette scène...Il aurait fallu l'immortaliser...Puis ce cher Monsieur Salaud part et on reste tous les deux, et enfin, enfin, tu comprends que je ne suis pas ce que tu pensais. Tu me consoles en me serrant dans tes bras musclés et on fini tous les deux dans le salon. Et de là, tout part très vite. Coup de phil' interminables, lamentations, nuits blanches ensemble. Et même si tu me considères encore un peu comme ça, jmen fous : je t'aime et tant pis si toi tu ne m'aimes pas.

BisouxXx mon chou et à l'année prochaine :).

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20 décembre 2006

Going to where the tea trees are - Peter Von Poehl

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Chaque jeudi matin, aux alentours de 12h30, je suis dans les couloirs de la station Opéra.  Et depuis quelques temps, je vois une affiche noires et blanches, qui par ses écritures vertes fluos surement, m'intrigue beaucoup.  Cette affiche, qui au demerant est belle, indique qu'un certain Von Poehl sera en concert à Paris.  J'aime ce nom, et comme je marche à l'affectif, je le retiens. Malheureusement, pas assez longtemps pour effectuer quelques recherches. Le jeudi suivant, je revois ce même nom sauf que cette fois je le retiens, et j'arrive même à écouter un de ses morceaux ! C'est pas mal, donc Monsieur, en plus d'avoir un nom, chante vraiment bien ?
Le temps passe et ce chanteur
suédois me sort de la tête, je suis bien trop occupé par les cadeaux de Noël. Puis le hasard m'ammène de nouveau à rencontrer ce cher Peter Von Poehl. Et pour plus de précisions, un mardi soir dans un Virgin. A la recherche d'un cadeau pour un ami, je me retrouve face à face avec...cet album. Je le regarde et avec sa bouche qui dit "achète moi", ses yeux de chiens battus, je suis obligé de céder. Pas la peine de résister, il m'a eu en plein dans le mille. Et puis, devant ce titre, Going to where the tea trees are, je ne peux vraiment plus rien faire. Crevée par une telle journée, je rentre chez moi et sur mon ordinateur, je mets ce cercle vert dans le lecteur à CD.  Malheureusement, avec le clapotis du clavier, je n'entends rien. Mais ce n'est que partie remise ! C'est donc hier soir, dans mon lit écrivant à la main cet article que je découvre ce chanteur qui m'a tant intrigué.
Honnêtement, j'aime bien. C'est relaxant, léger et pour peu, on se croirait dans de l'herbe par un grand jour de soleil.. Certes on est rapidement tenté de faire le rapprochement avec James Blunt & cie, mais vraiment il y a quelque chose en plus. Contrairement à tous ces males qui chantent des mélodies, Pet' a une étincelle en plus, que j'attribuerais surement aux tendances jazz. Malgré les mélodies envivrantes, les paroles mignonnes et la pochette magnifique, quelque chose m'a dérangé : le fait que sur certaines chansons, ils parlent plus que ne chantent.

Chanson préférée
: -The story of the impossible (8)
    -Little creatures (11)

19 décembre 2006

Pour toi que j'aime tant :)

A toi, mon ami, ma boulette, ma feuille de cana', mon rouquin, mon alcoolique non-anonyme,mon breton, mon belge, mon enfoiré, mon fou-qui-me-fait-des-frayeurs, mon faux psy

boy_and_girl_by_sina_tramaJ'y repense, et le fait de savoir que l'on s'est connu par une histoire crétines, ça me fait rire. Savait t'on que l'on passerait autant de temps ensemble, que tu dormirais chez moi, que l'on s'éclaterais autant et qu'au final, tout partirais en l'air ? Qui aurait imaginé qu'une amitié née de rien puisse un jour volé en éclat parce qu'une personne boit un coup de trop et que l'autre lui fait la morale ?
Parlons en de ce jour là justement ! Même si je t'engueule pour des choses qui ne me regardent pas, comprends moi ! Tu prends le volant d'un scooter après avoir fumé de l'herbe, en ayant déjà pas mal picolé, et je devrais t'encourager ? Ca aurait été moi, tu m'aurais trucidé... Certes, j'en ai fumé de l'herbe [oui, un ptit peu..] mais moi, jsuis rentrée à pieds, et si tu m'avais vu la fumé, tu m'aurais arraché le joint des mains et tu m'aurais engueulé. Et quand j'y réfléchis, je t'ai même pas engueulé, j'ai juste pleuré et dis que tu faisais une connerie...


Tu vois, aujourd'hui tu me manques.



18 décembre 2006

Folle, oui mais et alors ?

Je suis folle. Complêtement folle, gamine et tout ce que tu veux, si ça te fait plaisir.

Je suis folle parce que oui, tous les jours je m'éclate encore plus que la veille et parce qu'à chaque déjeuner ça part en vrille sur cette table de ping-pong autour de laquelle on mange équilibré. Je suis folle parce que je me rebelle pas contre les profs en foutant le "dawa" parce que mwa j'attache une importance au cours.  Je suis folle parce que j'aime la vie et m'éclater .       IMG_4016

Je suis gamine parce que je n'ai pas de copain. Mais tu connais ma vie privée ? Moi, contrairement à toi, je ne l'étale pas à tout le monde. Et puis, crois tu vraiment qu'avoir un copain, en particulier comme le tien -_-', c'est une preuve de maturité ? Je suis gamine parce que je me tape des délires avec des chwings gum Malabar, parce que ça m'amuse de tirer la langue à tout bout de champs ou encore parce que je chante dans la rue ? Et bien à ça, je te répondrais qu'une chose, j'aime la vie et m'éclater et pas me prendre la tête pour rien. La vie est courte du coup, que veux tu, j'en profite et tant pis du regard des autres.

Dis tout ce que tu veux sur moi, dans le fond jmen fous comme de la Freebox posé près de la Télé. Quoique, elle je lui accorde peut être même un peu plus d'importance. Un dernier truc ne te crois pas mon amie parce que je te dis bonjour et trois autres banalités. Tu me dis gamine et folle ? Mais regarde toi avant de parler !

Helle.

17 décembre 2006

Philippe Noiret

top_263607A toi,

Monstre sacré du cinéma français qui est mort le 23 novembre 2006. Je n'ai appris ton décés qu'une semaine après, le jour où tu te faisais entérré dans le beau cimetière de Montparnasse. Et un article en parlant qu'hier avant de sortir. Il était banal cet article, mais il m'a mis les larmes aux yeux. De voir toutes ces stars autour de toi, je ne sais pas, sûrement.

Je t'ai découvert aux alentours de 8 ans dans le film Le Bossu. Et, à tout jamais, je me souviendrais de cette réplique " J'ai glissé sur un macaron.". Réplique banale, certes mais qui marque quand vous n'avez pas encore une décennie. Il y a peu de temps, je t'ai vu dans un de tes premiers films Zazie dans le métro et comme quoi, entre 25 ans et 60 ans, tu n'as pas changé.

Je te connais pas personnellement, toi non plus mais je t'admire et tu resteras pour toujours l'un des plus grands du cinéma français.

Helle

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17 décembre 2006

Monsieur X, surnommé Monsieur Salaud

_a_this_is_love__right__by_fantasiafaeriePetite soirée entre amis. Il fait froid mais on est installé dans le jardin, on est jeunes et si on crève de froid, ça sera pas grave. Il est 22heures quand j'arrive et toi, tu n'es pas là. Je sais que tu vas arriver mais c'est con, je veux pas te voir. Pourquoi ? Parce que toi, que je nomme  dés à présent, tu m'as quitté par téléphone alors que tu es dans les bras de ton ex. Je m'installe donc dans ce cercle de joyeux fumeurs et je discutaille avec eux. Quand tien, la sonnerie sonne. Le propriétaire des lieux va ouvrir et oh!surprise, c'est toi. Toi que je ne voulais pas voir, toi qui savais que je serais là. Tu t'installes et avec les autres tu discutes, tu veux soudain parler avec moi. T'expliquer sans doute. Nous partons donc dans la maison, et vu que tu parles pas, et bien je te baffe parce que je vois pas ce que je peux faire d'autre. Discuter avec toi, désolé mais non. Je ne vois pas à quoi ça nous avancerait. Tu n'as pas pleuré, tu as rien dis. Mais moi, quand tu es reparti j'ai pleuré et par chance Y passe par là. Lui aussi a une vie pas des plus simple en ce moment. Et comme on s'entends bien, on se console dans les bras de l'autre. Ah..Y tes bras, je ne les oublierais pas. Je t'ai toujours dis que faire de la musculation c'était ridicule, mais si ça permet de consoler, alors continue. Dans tes bras, j'étais bien, ils étaient protecteurs.

Quant à toi, Monsieur X surnommé monsieur Salaud, je te dédicasse cet article. Ne fais pas comme si tu ne savais pas qui tu es, car sur les 4 milliard de males que compte cette Terre, tu te reconnaitras.

Helle

17 décembre 2006

Les Noces Barbares

acDans le cadre du lycée, je dois lire un livre par mois et faire un compte rendu de lecture. J'aime lire, là n'est pas le problème.Non le problème c'est de choisir LE livre. Celui qui fait partie de la littérature française (hé oui, il s'agit d'un bac français et non anglais, américain ou allemand; donc lire des livres dans le cadre du lycée ne sert absolument pas..), capable de vous captiver mais aussi celui qu'acceptera la terrifiante prof de français.

Ne sachant que lire, j'arpente l'importante bibliotèque familiale et tombe par hasard sur les les Noces Barbares. Ce titre...je l'aime.  Je lis le résumé et je tente l'aventure de le lire.

Et de la première à la dernière ligne, vous accrochez et vous redemenderez presque. Certes le livre est triste mais tout est captivant dedans. Vous pleurez sur le viol de Nicole, vous êtes dégouté par Mlle Rakoff, soulagés quand Ludo' s'enfuit, ému quand il retrouve sa mère. En fait, vous vivez les sentiments des personnages.

Comme toujours, avant de lire un livre, je regarde sur internet l'avis de plusieurs personnes et tous disent la même chose : on ne sort pas indemne de cette lecture. Et je partage cet avis. Une fois le livre refermé, vous n'osez pas en recommencez un autre, pas même de le reposer dans la bibliotèque. Vous le gardez dans vos mains avec une envie folle de le relire et d'éprouver les mêmes sentiments.

Pour conclure, je dirais simplement que jamais, ou rarement, un livre m'a donné l'envie de le rouvrir à peine refermé.

Helle

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